Enveloppé d’un papier satiné, déposé soigneusement sous la brillance d’un sapin, il s’appelle: un cadeau de Noël.

Capucine est née à la Cour… de ses parents. Elle était leur princesse. En réalité, elle est née « dans » la cour de ses parents.

Mon quartier avait quelque chose de rassurant, les familles se ressemblaient.

De nombreuses années se sont échappées, une trentaine peut-être.

Un instant de rien, là où les pensées déambulent dans une totale liberté, j’ai souhaité connaître un jour, un Noël différent.

On l’a attendu avec enthousiasme et voilà que déjà, l’automne en prend le relais.

Je pense à Maryline, une joyeuse thérapeute de l’âme, une amie.

Il y régnait quelque chose de différent dans cette église au cœur de la ville.

À 14.00 je sonne à la porte d’entrée d’un immeuble du centre-ville.

Il mène son affaire avec professionnalisme! La stratégie est bien apprise, elle est maintenant acquise.

Lentement, presque à mon insu, mon attention se déplace. Elle retourne à sa place, tel un glissement vers la source des choses

À la question: « Qu’est-ce que l’Homme augmenté? » quelqu’un a répondu: « C’est le couple ».

Je me suis arrêtée sur cette simple phrase qui terminait la discussion d’un groupe WhatsApp: Le Beau nous sauvera.

La Nature possède en elle tout ce qu’il faut pour maintenir les êtres vivants en bonne santé.

Le printemps annonce son arrivée en s’invitant au-dedans, autant qu’au-dehors.

Je ne l’ai pas vue arriver celle-là… la septantaine! Elle était loin, très loin, inatteignable, sauf pour les autres.

Cet après-midi-là, j’aurais voulu retenir ses paroles qui déjà s’envolaient. Heureusement, mon cœur en a pris quelques notes.

Les pilules du pharmacien n’ont pas pris le bon chemin, raison pour laquelle j’écris ma plus jolie anecdote, ma première histoire terrestre.

D’abord je me suis dit que je n’entrerai pas dans la partie, ne participerai pas à une société telle qu’elle se présente.

Couvert de nos manteaux, on rentre chez soi plus tôt. Les arbres, eux, dorment les bras ouverts, dénudés de leur opulence estivale. Leurs...